Programmes

Patrimoine

Hommage à Joseph Ryelandt

L’Ensemble De la Haye a contribué à l’attention renouvelée pour l’œuvre du compositeur brugeois Jospeh Ryelandt (1870-1965).
Actuellement, le répertoire de l’Ensemble De la Haye contient une grande partie de la musique de chambre et des œuvres pour clavier de Ryelandt.

Nocturne pour violoncelle et clavier op. 64, 1916 (5 ′)
Sonate pour violoncelle n ° 1 sur. 22, 1898 (17 ′)
Sonate pour violoncelle n ° 2 sur. 66, 1917 (16 ′)
Sonate pour violoncelle n ° 3 sur. 132, 1944 (10 ′)
Trois morceaux pour clarinette et piano op. 17 novembre 1897 (12’30)
Fantaisie pour clarinette et piano op. 40, 1904 (6’30)
Sonate pour piano n ° 6 sur. 61, 1915 (16 ′)
Sonate pour piano n ° 7 sur. 67, 1917 (22 ′)
Six préludes pour piano op. 62, 1915-1925 (9′)
1er Nocturne pour piano op. 81, 1923 (5 ′)
2ème Nocturne pour piano op. 90, 1927 (5′)
3ème Nocturne pour piano op. 91, 1928 (3’20)
4ème Nocturne pour piano op. 93, 1929 (6’15)
5ème Nocturne pour piano op. 97, 1929 (5’20)
6ème Nocturne pour piano op. 126, 1939 (5’20)
24 Pensées musicales pour piano, op. 94 dans tous les tons majeur et mineur (13′)
3 Préludes pour piano, op. 96, 1929 (8’30)
Sonate Quatrième pour violon et piano op. 63, 1916 (13′)
Cinquième sonate pour violon et piano op. 71, 1918 (20′)
Sixième sonatine pour violon et piano op. 84, 1926 (12′)
Septième Sonate pour violon et piano op. 115, 1935 (15′)
Romance pour Violon et Piano op. 59, 1915 (7′)
Barcarolle pour violon et piano en mi bémol op. 95, 1929 (5′)
Premier trio pour violon, violoncelle et piano op. 57, 1915 (19′)
Canon en trio pour piano violon et violoncelle, op. 70, 1918 (3′)
Deuxième trio pour violon, violoncelle et piano op. 131, 1944 (17′)
Cinq chœurs à voix égales avec clavier. 83, 1923 sur des textes de Guido Gezelle (16′)

Autour de Gabriël Fauré – Hommage à Gabriël Fauré

Claude Debussy (1862 – 1918)
Sonate pour violoncelle et piano, 1915, (10 ‘)
Nocturne et Scherzo pour violoncelle et piano, 1882, (6 ‘)

Gabriël Fauré (1845 – 1924)
10e Nocturne en mi mineur. pour piano, op. 99, 1908, (5’10)
11e Nocturne en fa dièse pour piano, op 104/1, 1913, (4’30)

Joseph Ryelandt (1870 – 1965)
4e Nocturne en mi bémol pour piano, op. 93, 1929, (6’10)
Barcarolle en mi bémol pour violon et piano, op. 95, 1929, (4’50)

Gabriel Fauré
5e Barcarolle en fa dièse pour piano, op.66, 1894, (6 ‘)
12e Barcarolle en mi bémol pour piano, op.106bis, 1915, (3’20)
Trio pour piano, violon et violoncelle op.120, 1923 (21’)

Créations et collaborations

Nous remercions les compositeurs Martin Valcke, Hannes Taljaard (S.A.), Pieter Schuermans, Luc Van Hove et Wim Henderickx pour leur collaboration et leur soutien.

Martin Valcke
Rondo et Gigue pour violon et piano, (10 ′)

Wim Henderickx
Suite pour violon et piano, 1988, (14 ‘)
Quatre pièces pour clarinette et quatuor à cordes, 1990, (14 ′)
2 Nocturnes pour clarinette et piano, 1993, (10 ′)
Memento Mori pour piano solo, 2005, (25 ′) et électronique en direct, inspiré du trityque du peintre Ronald De Preter. Créé par Bart Meuris, 25 06 2005, Musée municipal de Lier
Trio avec piano, 2012, (15 ′)

Pieter Schuermans
Lac Bowron, 2012, (14 ′). Créé le 11 octobre 2012, Chamber Music Hall Lemmensinstituut, Louvain

Luc Van Hove a récemment écrit un trio avec piano (18 ′) pour l’Ensemble De la Haye. C’est une œuvre en cinq parties dont nous assurerons la création en 2022.

Confrontations

Musique de l’eau

La fascination pour l’eau comme métaphore a inspiré beaucoup de compositeurs ; Toru Takemitsu, Norbert Rosseau, Pieter Schuermans,…
Les œuvres écrites par Toru Takemitsu (1930-1996) à partir des années 80 forment des cycles et sont principalement consacrées à « l’eau » (Rain Tree, Rain Spell, Rain coming,…) et aux « rêves » (Dreamtime, Dream / window, Rain Dreaming). L’Ensemble De la Haye s’est plongé dans ces « paysages aquatiques » formant une passerelle esthétique et musicale entre l’Orient et l’Occident.
Rain Tree Sketch for Piano, 1983, (3 ‘)
Rain Tree Sketch II pour piano, céleste léger. In Memoriam Olivier Messiaen, 1992, (5 ′)
Between Tides pour violon, violoncelle et piano, 1993, (17 ′)

l ‘Eau passe est un cycle de chansons spécial et complet de Norbert Rosseau (1907-1975) de Gand basé sur des textes de Maurice Carême. Une peinture musicale, en apparence naïve, toutefois raffinée dans le style, la structure et son expression. La poésie et la musique originale intègrent des réalisations du passé et des expériences jusqu’aux années 1950. Une sélection pour 2 voix et 4 instruments. L’intérêt de Rosseau pour l’eau est clairement évident dans l’ouvrage H²0.

Bowron Lake pour clarinette, violon, alto, violoncelle et piano, 2012, (14’) de Pieter Schuermans fait référence dans son titre à une aventure particulière au lac canadien Bowron, où Pieter Schuermans a séjourné pendant plusieurs semaines dans une nature vaste et intacte. Des motifs courts, caractéristiques et de longueurs variables sont utilisés comme éléments constitutifs d’un tissu polyphonique. En raison de leurs durées différentes de 4, 5 et 7, elles peuvent également être intégrées dans une mesure large et englobante. Il en résulte à la fois une interaction polymétrique intéressante entre les motifs eux-mêmes et une articulation claire de cette mesure générale, qui englobe la durée du plus petit multiple commun des motifs. Cela permet d’ordonner et de soutenir l’écoute.
Le phénomène d’une unité de temps large et durable a été exploré par Pieter Schuermans de plusieurs manières. Il a inventé cette technique sous le nom de Metapulse et l’a développée pour en faire une caractéristique stylistique de sa musique dans sa recherche doctorale Chaotic Pulse, Pulsating Chaos. Créé le 11 octobre 2012, salle de musique de chambre Lemmens Institute, Louvain.

Perles oubliées – Franz Schubert

Malgré la célèbrité de Schubert (1797-1828), ce programme contient des pages les plus belles et les plus poignantes d’un Schubert de génie. Franz Schubert a beaucoup écrit au cours de sa courte vie. Ses compositions sont reconnaissables à leurs mélodies gracieuses et chantantes, à leurs brusques contrastes d’ombre et de lumière, à leurs relations tonales étranges et audacieuses et à leur jeu de simples mouvements de danse. Il manie tout cela avec une spontanité et une ingéniosité inégalées.

Ses compositions sont reconnaissables à leurs mélodies gracieuses et chantantes, à leurs brusques contrastes d’ombre et de lumière, à leurs relations tonales étranges et audacieuses et à leur jeu avec de simples mouvements de danse. Il manie tout cela avec une spontanité et une ingéniosité inégales.

Perles oubliées vous faites découvrir:

la Sonate Arpeggione en a mineur (1824), D821, pour arpeggione  – ici violoncelle – et piano. La première édition date de 1871. L’arpeggione était un instrument de musique à six cordes muni de frettes et accordé comme une guitare. Il possédait un chevalet incurvé qui permettait de jouer de l’archet comme un violoncelle. Après son invention vers 1823 par les luthiers viennois Johan Georg Stauffer et Peter Teufelsdorfer, l’instrument a connu une grande popularité pendant une courte péeriode. La sonate en arpeggione de Schubert n’a été publiée qu’en 1871, 4″ ans après sa mort, alors que l’instrument était depuis longtemps passé de mode.

la Sonate en la majeur, D574, ‘Grand duo’ pour violon et piano, date de 1816-17 et a été publiée en 1851 comme op.posthumus 162.

les « Funf Variationen über ein Thema von Franz Schubert » écrits en 1956 par le jeune allemand Helmut Lachenmann (°1935). Le thème de Schubert, une danse allemande D643, ouvre cette oeuvre. Il s’agit d’une courte composition dans laquelle Schubert fait intervenir un certain nombre de notes et de realations tonales étranges. Lachenmann se concentre sur ce point dans ses variations, incorporant les particularités de Schubert d’une manière idiosyncratique et utilisant un langage tonal dissonant. Parfois, des fragments de la danse sont reconnaissables dans le mouvement et la forme de la musique.

Notturno (ou Adagio) en mi bémol majeur, D897, pour violon, violoncelle et piano. La genèse de cette oeuvre est vague. On soupconne que’elle a été composée en 1825 ou 1826. S’agit-il du début d’un trio à part entière? Les autres mouvements ont-ils été perdues? Quoi qu’il soit, cette oeuvre est d’une expressivité saisissante tout en utilisant le style pianistique virtuose de J.N. Hummel et de J.L. Dussek, contemporains bien connus de Schubert.

Le temps et l’éternité

«Musicien, j’ai travaillé le rythme. Le rythme est, par essence, changement et division. Etudier le changement et la division, c’est étudier le temps. Le temps – mesuré, relatif, psychologique – se divise de mille manières, dont la plus immédiate pour nous est une perpétuelle conversion de l’avenir en passé. Dans l’éternité, ces choses n’existeront plus. Que de problèmes ! Ces problèmes, posés dans mon Quatuor pour la fin du temps. Mais à vrai dire, ils ont orienté toutes mes recherches sonores et rythmiques depuis une quarantaine d’années ». Olivier Messiaen.

Wim Henderickx (1962)
2 Nocturnes pour clarinette et piano, 1993, (10 ′)
Memento Mori pour piano solo (électronique en direct), 2005, (12 ′), inspiré du travail visuel de Ronald De Preter. Créé par Bart Meuris, le 25 juin 2005, Musée municipal de Lier
Trio avec piano, violon, piano violoncelle, 2012, (15′)

Toru Takemitsu (1930-1996)
Orion pour violoncelle et piano, 1984, (12′30)
Between Tides pour violon, violoncelle et piano, 1993, (17′)

Olivier Messiaen (1908 – 1992)
Deux mouvements du Quatuor pour la fin du temps
Louange à l’éternité de Jesus, violoncelle et piano, (12′)
Louange à l’immortalité de Jesus, violon et piano (8′)

Contrapunctus

Pour les compositeurs, la maîtrise du contrepoint (avoir plusieurs voix entendues simultanément) était la preuve ultime des connaissances professionnelles d’un compositeur. «Contrapunctus» apporte une musique qui vous submerge comme entrer dans une cathédrale; une musique pas immédiatement compréhensible dans tous ses détails, mais qui devient ainsi une métaphore de l’insaisissable, du supérieur, du divin. Une musique qui capture votre perception, non pas à cause de ses lignes séduisantes ou de ses belles harmonies, mais par un thème montrant l’inévitabilité de sa logique et de son développement.
Et c’est précisément à travers cette sobriété et la création d’unité qu’elle peut offrir du réconfort.
Johann Sebastian Bach: Contrapunctus 13, forma recta, forma inverso, Die Kunst der Fuge, BWV 1080, 1742-1750, (5′)
Ludwig Van Beethoven: Sonate pour violoncelle en ré, op 102/2, 1815, (21′)
Johannes Brahms: 1ère Sonate pour violoncelle op. 38, 1862-65, (23′)
Dmitri Chostakovitch: à partir de 24 préludes et fugues, op. 87, 1950-51 (10-20′)

Chorale et musique de chambre

De nombreux compositeurs de notre passé ont écrit des œuvres chorales fascinantes. La musique était en grande partie conforme à la tradition romantique, était accessible et offrait aux compositeurs de vastes possibilités d’interprétation.
L’Ensemble De la Haye souhaite collaborer avec des chœurs et combiner des œuvres vocales avec de la musique de chambre appropriée.

Johannes Brahms (1833 – 1897)
Ein Deutsches Requiem op. 45, 1868 (1:14′). Version piano 4 mains

Joseph Ryelandt (1870 – 1965)
Cinq chœurs à voix égales avec clavier. 83, 1923 sur des textes de Guido Gezelle (16′)

Récitals de conférence – Concerts de contes

Une manière différente de rencontrer le public passe par une nouvelle approche. Des mots et des images appropriées placent la musique avec laquelle nous ne sommes plus connectés au quotidien dans un contexte qui peut être éclairant pour nous aujourd’hui.
« Musique à Bruges pendant la Grande Guerre». Avec des œuvres de Joseph Ryelandt et de ses contemporains. Avec la collaboration de l’historien et musicologue Dr. David Vergauwen.

Quatuors avec piano

Robert Schumann: Quatuor avec piano en ES op. 47, 1842, (28 ′)
Norbert Rosseau: Quatuor avec piano op. Post., 1975, (18 ‘)

Quintettes avec piano

Robert Schumann: Quintette avec piano en ES op. 44, 1842, (31 ′)
César Franck: Quintette avec piano en fa mineur. sur. , 1879, (36 ′)
Joseph Ryelandt: Quintette avec piano en la mineur. sur. 32, 1901, (23 ′)
Dmitri Shostakovich: Quintette avec piano en sol mineur. sur. 57, 1940, (37 ′)

Hommage à R. SCH….

Il n’est pas surprenant que la musique de Schumann ait changé vers 1850. Schumann était alors troublé par l’agonie et les délires. Les œuvres de musique de chambre tardive, huit œuvres aux combinaisons d’instruments surprenantes, datent de cette période.
La manière de composer de Schumann était limitée à l’essence, qui apparaît parfois ascétique ou sonne «unheimlich», comme la troisième partie de Märchenbilder..
Schumann et Kurtág partagent une expérience musicale d’une intensité presque insupportable, un lien avec la littérature, la suggestion du fragmentaire, la force primitive de «l’Innere Stimme» que Schumann pensa entendre.
Dans la structure de Kurtágs ‘Hommage à R. Sch.’ de 1990, dont les premières esquisses datent des années 1970, il y a aussi une relation avec les six volumes du « Das Lied von der Erde « de Gustav Mahler. Un travail qui se termine également par un «Abschied». Certaines parties sont extrêmement courtes et portent des titres poétiques qui font référence au monde littéraire de Schumann. La partition est très détaillée et contient de nombreux indices sonores, de dynamique et de caractère. Le matériel sonore est souvent constitué d’éléments traditionnels, assemblés de manière originale. Le mouvement final, qui dure deux fois plus longtemps que les cinq autres parties réunies, Meister Raro (une figure de Schumann) concilie la polyphonie de G. De Machaut avec une marche funèbre mahlérienne en une passacaille de Bach. Il utilise le parlando-rubato hongrois et l’ascétisme webernien, jusqu’à ce qu’un pianissimo du gros tambour fasse l’adieu définitif.
Sources : György Kurtág: Entretiens, textes, écrits sur son œuvre. Contrechamps éditions, Genève, 1995. Paroles de Jan Michiels accompagnant l’enregistrement CD «Hommaga à R.Sch…», Etcetera KC 4016. G. van der Leeuw: Musique de chambre de Schumann avec piano. W. Brons: Réflexions sur feu Schumann. Piano Bulletin 2006, 24e tome no. 3. EPTA Pays-Bas.

Robert Schumann (1810-1856)
Fantasiestücke op. 73 pour clarinette (violoncelle) et piano, 1849, (12.30′)
Märchenbilder op. 113 pour alto et piano, 1851, (16 ‘)
Märchenerzählungen op. 132 pour alto, clarinette et piano, 1853/54, (16′)

György Kurtág (1926)
Hommage à R. Sch. sur. 15d pour alto, clarinette et piano, 1990, (9.30’)

Enregistrement en direct Chamber Music Hall Campus Lemmens, Louvain. Parties 4, 5, 6.

Jean Absil (1893 – 1974)
Hommage à Schumann op. 67 pour piano, 1946, (5’30)

Influences juives : Chostakovitch et Copland

La musique juive comporte de nombreuses facettes et est reconnaissable dans sa gaieté toujours tintée de tragique. Les compositeurs du XXe siècle incluent précisément cet idiome dans leurs œuvres.
Après la mort de Chostakovitch, le musicologue et journaliste Solomon Volkov a fait passer le manuscrit de ses entretiens avec Chostakovitch en contrebande en Occident et l’a publié sous le titre «Témoignage». Il y présente le compositeur comme un dissident pris au piège d’un régime de fer. Ainsi, dans l’ouest pendant la guerre froide, un portrait trop bienvenu et même abusé du compositeur s’est dressé. Son importance dans l’histoire de la musique de la Russie du siècle dernier n’est pas encore tout à fait claire pour notre génération, en partie à cause de l’opportunisme politique que le monde russe et le monde occidental ont exploité avec empressement. Chostakovitch dit à Volkov: «Pour moi, les Juifs sont devenus un symbole. Toute absence de défense humaine y était concentrée. Après la guerre, j’ai essayé de refléter ce sentiment dans mes compositions ». … « En ce qui concerne les impressions musicales, je pense que la musique folklorique juive m’a profondément impressionné. Je continue à aimer cette musique. C’est une musique très variée, qui peut être gaie extérieurement, mais qui est en réalité triste. Cette qualité de la musique folklorique juive est très proche de mon idée de ce que devrait être la musique. […]
Pendant ce temps, la musique de Chostakovitch témoigne d’un grand art qui a dû se développer dans les conditions étouffantes du régime soviétique. À tout le moins, on peut dire que Chostakovitch était fasciné par l’expression de « douleur sereinement sublimée ». On ne peut que supposer l’attitude réelle du compositeur, qui a dû croire au communisme et qui s’est ouvertement excusé parce que son œuvre s’écartait trop du cap fixé par les autorités. Son attitude contenait à la fois loyauté et résistance intelligente au régime soviétique.
Sources: Histoire de la musique russe, Francis Maes. 1996 Kritak / BRTN-VAR. Dmitri Shostakovich. Témoignage. Memories of Dmitri Shostakovich, narré et édité par Solomon Volkov, 1979. Éditeur De Arbeiderspers, 1981. p. 211-13. Texte: Bart Meuris

Dmitri Chostakovitch (1906-1975)
Prélude et fugue en fa dièse mineur, op. 87/8, 1951, (8’30)
Trio n ° 2 en mi mineur, op. 67 pour violon, violoncelle et piano, 1944, (28 ‘)
Sept romances sur des poèmes d’Aleksander Blok,
op. 127, 1967, (26 ‘)
Quintette avec piano en sol majeur op. 57, 1940, (37 ′)

Aaron Copland (1900-1990)
Vitebsk, étude sur un thème juif. Violon, Violoncelle, Piano, 1929, (13’30)
Chants juifs, arrangés pour trio avec piano, (arr. Bart Meuris), (10 ‘).